Une
pellicule "noir et blanc" est constituée d'une
superposition de plusieurs couches d'éléments aux rôles bien
précis :
- au dos (côté « brillant » de la de la pellicule), on trouve une première couche "anti-halo" et "anti-curling" : Cette couche assure la rigidité et la planéité (anti-curling) et la protection contre des auréoles lumineuses dues à des réflexions de la lumière sur le support (anti-halo).
-
le support du film, généralement en tri-acétate de cellulose
-
un substrat, qui permet à l'émulsion d'adhérer au support.
-
l'émulsion, c'est elle la "rétine" de la pellicule :
constituée de millions de microcristaux d'halogénure d'argent
(généralement du bromure d'argent) en suspension dans une gélatine.
C'est ici que l'image va être capturée
-
une couche de protection contre les rayures.
Une
des plus importantes évolutions, bien que méconnue du public, est a
partir de 1925 l’invention de la pellicule « Panchromatique
».
C’est à dire que, bien que toujours en noir et blanc, elle est sensible à l’ensemble du spectre électromagnétique visible par l’œil humain.
C’est à dire que, bien que toujours en noir et blanc, elle est sensible à l’ensemble du spectre électromagnétique visible par l’œil humain.
Normal penserez vous, et bien pas tant que ça…
Auparavant, le film était « Orthochromatique » ce qui limitait la profondeur de champ du fait du besoin d’ouverture du diaphragme. En clair, cela signifie que le film n’était sensible qu’aux nuances très prononcées, les acteurs devaient être très maquillés la lumière très puissante pour parvenir à discerner les contrastes.
Auparavant, le film était « Orthochromatique » ce qui limitait la profondeur de champ du fait du besoin d’ouverture du diaphragme. En clair, cela signifie que le film n’était sensible qu’aux nuances très prononcées, les acteurs devaient être très maquillés la lumière très puissante pour parvenir à discerner les contrastes.
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